mardi 17 novembre 2009

Crise financière mondiale: le Dico pour tout comprendre

La France, la Belgique, les Etats-Unis, le Japon : partout, le même fléau. La récession. La crise des subprimes a entraîné un krach et l’économie mondiale peine à se relever. Les Banques centrales injectent des liquidités pour relancer le marché interbancaire, le gouvernement des Etats-Unis, point de départ de la crise, envisage de racheter aux banques leurs titres pourris pour assainir le marché boursier via le Plan Paulson… Bref…Vous avez compris quelque chose, vous ?
Récession : Un grand mot qui fait peur (les politiques français osent à peine le prononcer) pour désigner une diminution de l’activité économique. Elle se manifeste par une baisse des investissements et une augmentation du chômage sur un trimestre. Si la récession s’installe durablement, elle devient une « dépression ». Un mot toujours aussi angoissant, mais qu’au moins, tout le monde connaît. Aux USA, le terme de récession s’applique quand il y a diminution du PIB pendant deux trimestres.
Subprimes : Selon le dictionnaire américain Merriam-Webster (équivalent de nos Larousse et Robert), des subprimes sont des « taux d'intérêts élevés qui s'adressent en particulier aux emprunteurs à petits revenus. » Des taux d’intérêts élevés permettent aux revenus modestes d’accéder à la propriété. Ils rembourseront des sommes « raisonnables » tous les mois, mais pendant plus longtemps. Au final, ils paieront leur bien plus cher. Normal, ce sont des prêts dangereux, « prêt à hauts risques » comme on dit chez nous.
La crise des « subprimes »: Jusqu’en 2006, les prix de l’immobilier ne cessaient d’augmenter. Les ménages modestes ont donc eu recours à des subprimes pour accéder à la propriété. Mais en 2007, les logements qu’ils avaient achetés valaient beaucoup moins que le prix d’achat. Étranglés par leurs dettes, ils ont cessé de payer ces échéances et les banques se sont retrouvées avec des biens ne valant plus rien sur les bras. Pour accorder des crédits à tous ces ménages modestes, elles se sont prêtées de l’argent entre banques, alimentant le marché interbancaire. A leur tour, les banques se retrouvent endettées, les bras chargés de « titres pourris ».
Titres : En langage boursier, un titre désigne une valeur, une action, un prêt…On dit par exemple qu’une banque procède à la « titrisation » lorsqu’elle converti un bien en une valeur qu’elle place en bourse. On en achète, on en revend… Bref, les titres issus des subprimes sont « pourris », invendables ! Ils ne valent plus rien par rapport à ce qu’ils ont coûté et ont placé les banques dans une situation comparable au surendettement. C’est le krach.
Krach : Un krach est un effondrement des cours de la bourse. On le prononce « crac » parce qu’il s’agit d’un mot Allemand (signifiant « craquer »), entré dans le vocabulaire à la suite de l’effondrement de la bourse de Vienne en 1873. D’ailleurs, certains l’écrivent « Krack ». Il n’y a pas que les bourses qui peuvent se « Kracher ». Les établissements bancaires, lorsqu’ils ne peuvent honorer leurs engagements de paiement, sont victimes d’un « Krach ». Pour les sortir de là, les différentes banques centrales « injectent des liquidités. »
Les banques centrales : Elles sont chargées de superviser la politique monétaire et la création de la monnaie d’un pays ou d’une zone monétaire. Dans la zone Euro, c’est le rôle de la BCE. Aux Etats-Unis, son équivalent est la Fed (Réserve fédérale des Etats-Unis.) En ces temps de crise, elles tentent de relancer le marché interbancaire.
Marché interbancaire : Les banques fonctionnent à peu près comme les ménages.Elles ont de l’argent en stock, mais doivent parfois emprunter. Elles piochent alors chez les autres banques sur ce fameux marché. Mais comme toutes sont endettées, elles ne peuvent plus assurer le bon fonctionnement de ce marché qui se trouve paralysé par des taux trop élevés. Les Banques centrales tentent d’y remédier en injectant des liquidités.

Liquidités : Il s’agit d’une somme d’argent disponible immédiatement.

Injecter des liquidités : Lorsque l'on dit que la Banque centrale européenne injecte des liquidités dans le marché », on veut simplement dire qu’elle fabrique de la monnaie. Pourquoi « injecter des liquidités » ? Là aussi, il y a des taux d’intérêt. Et comme pour les ménages, plus ils sont bas, plus il est facile de les rembourser. Si la Banque centrale européenne parvient à faire baisser ces taux, elle facilite donc le remboursement des prêts entre banques qui, une fois rechargées à bloc, accordent d’avantages de crédits à leurs clients (les fameux ménages). Pour se faire, la BCE « injecte des liquidités ». Autrement dit, elle crée de la monnaie qu’elle prête aux établissements bancaires pour éviter de reproduire le scénario catastrophe de la faillite de Lehman Brothers.
Lehman Brothers : Lehman Brothers a été le premier établissement bancaire à payer le prix fort la crise des subprimes. Cette banque d’investissement multinationale a fait faillite le 12 septembre dernier.
Fannie Mae et Freddie Mac : Malgré leur nom de chanteuse country, Fannie Mae et Freddie Mac sont deux agences fédérales aux Etats-unis. Actrices vedettes du crédit immobilier, elles ont accumulé 1 600 milliards de dettes dans la crise des subprimes. En effet, elles détiennent ou garantissent près de la moitié des 12 000 milliards de crédits immobiliers accordés aux ménages modestes américains. Résultat : elles ont perdu 90% de leur valeur en bourse au cours de l’année écoulée. Il a fallu que l’Etat américain les mette sous tutelle gouvernementale. Cela s’appelle un sauvetage bancaire, à l’instar du « Plan Paulson ».
Le « plan Paulson » : Porté par le secrétaire au Trésor américain (équivalent du Ministre des Finances), Henry Paulson, le « plan Paulson » est un plan de sauvetage bancaire. Pour les aider à surmonter leur « Krach », et éviter de nouvelles « faillites », il propose que l’Etat leur rachète leurs « titres pourris » à hauteur de 700 milliards de dollars. C’est comme si vous étiez surendetté et que l’Etat décidait de régler la note pour vous tirez d’affaire. Refusé une première fois, par le Congré il a finalement été adopté le 3 octobre dernier.

toutes les informations sur le Riad à Marrakech.

Vous voulez tout savoir sur le Riad à Marrakech, ne vous posez plus de question, sur Espace Maroc vous trouverez les réponses à toutes vos questions.
Vous disposez dun riad à Essaouira, faites connaitre votre joyau à travers le monde en profitant des services de votre site web. En effet, Espace Maroc vous assure une visibilité incontestable et une popularité sans pareil sur internet.
Internet, le moyen de communication le plus courant du millénaire en cours, a plusieurs facettes et présente de nombreux avantages. De ces multiples avantages on note l’ébergement des sites internet. Mais quels sont différents types d’hébergement qu’on retrouve sue le web ?

Type d’hébergement internet

L’une des merveilles que propose l’internet c’est bien l’hébergement des sites web. Tout comme les voyageurs, les touristes et toutes personne se trouvant hors de chez elle, les sites web ont tout aussi besoin d’être héberger sur internet.
Il ne suffit pas de créer un site, il faut savoir lui trouver un hébergeur qui saura l’entretenir et l’aider à se faire une place dans ce vaste univers.
Pour ce faire, il existe plusieurs types d’hébergement internet, à savoir :
- L’hébergement mutualisé, consiste à faire partager un serveur unique entre des utilisateurs ayant des sites web. L’hébergement de site web mutualisé est le plus utilisé, car il est l’hébergeur qui répond le plus aux besoins des clients. Ceci n’est pas pour dire que les autres types d’hébergement sont moins bons ;
- L’hébergement sur serveur dédié, ici les utilisateurs disposent de leur serveur. Il est surtout indispensable pour ceux ayant d’énormes besoins (espace web) ;
- L’hébergement sur serveur virtuel, celui-ci consiste à subdiviser un serveur en plusieurs serveurs virtuels tout en lui conservant toues les capacités et les détails d’un serveur dédié ;
- L’hébergement sur serveur dédié clé en main, il est plus intéressant pour les webmasters qui font leurs débuts. Il est aussi adaptable et facile d’utilisation qu’un hébergement mutualisé, il offre les mêmes caractéristiques que celles d’un serveur classique.

Tout ce que vous devez savoir sur l'immobilier a marrakech

Une des issues pour un investissement prometteur au Maroc, c’est d’investir dans l’immobilier à Marrakech. Pour ce faire, le groupe Lions Immobilier met à votre disposition aussi bien son expertise que ses services dans l’achat d’un appartement à Marrakech, ou même l’acquisition d’une villa exceptionnelle à Marrakech.
Rassurez-vous, avec Lions Immobilier vous avez la chance de pouvoir effectuer l’achat d’un terrain à Marrakech dans une zone offrant un environnement enchanteur et qui vous permettra de vivre en communion avec la nature.
Afin de confirmer sa place dans le monde de l’immobilier, le Maroc prendra part au salon international de la construction « Batimat 2009 » du 2 au 7 novembre 2009 à Paris.

Le Maroc au salon international de la construction « Batimat 2009 » à Paris.

Sous le thème de la rénovation durable, cette rencontre réunira tous les spécialistes de la construction. En effet, « Batimat 2009 » est un salon multi-spécialiste qui accueillera près de 400.000 visiteurs, et sera pour ces derniers une opportunité de s’imprégner des techniques et solutions innovatrices du secteur de l’immobilier et particulièrement pour la construction et la rénovation durable.

S’étendant sur une amplitude de 135.000 m2, ce salon bénéficiera du concours de près de 2.700 exposants provenant de plus de 49 pays. Batimat 2009 comptera environ 7 stands consacrés entre autre à la menuiserie et fermeture, aux gros œuvres, à la gestion durable des bâtiments, à l’informatique et services voisins, au matériel et outillage.

Pour cette 27ème édition, Batimat 2009 aura pour invité d’honneur la Russie, mais les pays du Maghreb (la Tunisie, l’Algérie et le Maroc) seront au centre des manifestations majeures de cette rencontre. Ainsi, avec la participation de Maroc Export, les exposants marocains seront à leur cinquième participation et occuperont un espace allant au-delà des 600 m2. a l’issue de ce salon, le Maroc envisage amplifier ses relations de partenariat avec l’Union Européenne et particulièrement avec la France.

Tout ce que vous devez savoir sur le jardinage

S’appuyant sur des années d’exercices pratiques et sur la ferme conviction que le jardinage s’adresse à tout le monde, ce livre regorge de conseils concrets.
Que vous soyez un jardinier innocent à la recherche de la réussite ou un vieux routier en quête d’une nouvelle méthode, ce livre tonifiant va transformer définitivement votre jardin et la façon dont vous le regardez.
Rien n’est trop simple pour être mentionné, et rien n’est trop compliqué pour être clairement expliqué, même la question tellement redoutée de la taille est démystifiée.
Pour jardiner,
il faut se lancer et savoir saisir les opportunités : pour un jardinier en herbe, la première
étape sur le chemin de la prise de confiance dans le maniement des couleurs consiste à faire l’acquisition de quelque chose de beau, à creuser un trou, et à l’y installer : un jardin “à problèmes” est un lopin qui n’attend que d’être planté ; et les plus beaux fruits ou les plus beaux légumes sortent d’un sol qui est traité avec une approche saine de la question.
Qu’il s’agisse de comparer la préparation de la terre retournée sur la hauteurs de deux fers
de bêche aux pratiques sexuelles tantristes, ou d’encourager les lecteurs à traiter les plantes
de terre acide comme des convives difficiles invités à une réception, ce livre abonde d’informations exprimées avec concision, d’astuces intelligentes et d’idées brillantes.
Incluant l’inestimable calendrier du jardinier, ce livre est un ouvrage de référence original,
aussi distrayant qu’indispensable.

20 choses que vous devez savoir sur la musique en ligne

On entend partout que le business de la musique a changé, ce n’est pas tout a fait exact. En réalité, il change, et c’est totalement différent.
Faire face à ce changement, et s’y adapter au fur et à mesure qu’il arrive, est le plus gros challenge qu’ait eu à affronter les acteurs de l’industrie de la musique. La meilleure façon de naviguer dans ces eaux agitées est de comprendre ce qu’il s’y passe, de façon à s’adapter et à répondre à un environnement changeant de la façon la plus appropriée possible.
Vous n’avez pas besoin d’être un geek, il vous suffit de comprendre quelques principes simples, nous en avons dénombré vingt. Si vous les comprenez, et les mettez en pratique, vous pouvez être sûr de partir d’un bon pied dans l’univers de la musique en ligne.
Ces principes n’ont pas d’ordre précis, Ils sont tous importants. Dans ce premier billet nous en feront la liste avant de revenir en détail sur chacun d’entre eux.
1. N’écoutez pas la Hype
Les Artic Monkeys et Lorie ne sont pas devenus riches et célèbres et n’ont pas vendu des millions d’albums rien qu’avec MySpace, pas plus qu’ils n’ont drainé des milliers d’auditeurs grâce à leurs webcast faits à la maison. Les RP, les média traditionnels, les Labels et beaucoup d’argent ont tous joué un rôle important dans leur succès.
2. Ecouter / Apprécier / Acheter
C’est la règle d’Or. Les gens écoutent de la musique, apprécient de la musique, et finissent par l’acheter. C’est uniquement dans cet ordre que cela se passe. Si vous essayez de renverser cette séquence, cela n’a aucune chance de marcher.
3. Les leaders d’opinion font la loi
Nous connaissons tous l’importance de la radio et de la presse. Il existe désormais de nouveaux leaders d’opinion qui relaierons vos histoires de façon crédible. Vous devez trouver qui ils sont, ou mieux, devenir l’un d’entre eux.
4. Personnalisez
Une solution individualisée, ou au pire une présence web customisable est indispensable. Une solution générique vous garantira presque systématiquement un anonymat très dommageable à vos affaires.
5. La longue traîne
Chris Anderson a montré à plusieurs reprise que le futur dans la vente en ligne consistait à vendre plus de choix en plus petites quantités. Mettez tout votre catalogue en ligne, tout ce que vous pouvez vendre : étendez votre catalogue. Vous ferez plus de chiffre d’affaire en vendant une multitude de produits de niche qu’en proposant une sélection de hits.
6. Web 2.0
Oubliez l’idée d’être un site de destination, devenez un environnement. Votre site web n’est pas une brochure, c’est un lieu où les internautes se rencontrent et se connectent entre eux ou avec vous.
7. Entrez en relation
Votre site web n’est pas le reflet d’une stratégie de promotion. Apprenez à raconter une histoire, et apprenez à le faire d’une façon adaptée à l’environnement web. Pensez à la façon dont votre histoire peut se traduire à la fois pour les nouveaux média et pour les canaux RP traditionnels.
8. Faites de la promotion croisée
Vos produits en ligne ne sont pas un substitut de vos produits en magasin, et ils n’existent pas de façon indépendantes. Imaginez une façon de les faire interagir de façon intelligente.
9. Moins de clics
C’est particulièrement vrai quand vous en voulez au porte monnaie des internautes. Si vous devez remplir un formulaire, naviguer à travers trois niveaux de menus pour finir par saisir un mot de passe, vous découragerez la plupart de vos prospects.
10. Soyez pro
Si c’est votre business, vous devez être pro. Soignez vos profils sociaux en ligne avec autant de soin que vous le feriez pour votre communication corporate ou votre marketing.
11. La fin de la rareté
L’économie de l’internet est fondamentalement différente de l’économie des rayonnages de magasins et des stocks limités. Vous pouvez donner un millions d’exemplaires de votre album afin d’en vendre quelques milliers.
12. L’identité distribuée
D’un point de vue RP, vous avez tout intérêt à fragmenter votre présence sur internet plutôt que de chercher à tout rassembler en un point. La participation à des groupes, les commentaires et les réseaux sociaux sont des aides précieuses.
13. Moteurs de recherche et SEO
Vous devez comprendre comment fonctionnent les moteurs de recherche et comment optimiser votre présence à leurs yeux, afin de multiplier vos chances d’être trouvé. Soyez non seulement trouvable, mais faites également en sorte qu’ils puissent chercher chez vous.
14. Demandez la permission
Votre message doit être le bienvenue, être approprié, utile et personnalisé. Laissez les internautes choisir de rentrer en relation avec vous est infiniment plus efficace que de les spammer.
15. RSS
Fournissez en, utilisez les et évangélisez leur utilisation. Le RSS est l’aspect le plus important de votre site, traitez le de façon appropriée. Mais ne perdez pas de vue que c’est une nouveauté pour la plupart des internautes, et aidez les à s’en servir.
16. Soyez accessibles
Tout le monde n’a pas un ordinateur dernier cri et une liaison internet très haut débit, tout comme le monde n’a pas la chance de voir. Faites en sorte de ne pas vous couper de ceux qui ne disposent pas de ces privilèges. C’est relativement facile a faire, c’est important, et cela évite de voir des internautes tourner le dos à votre site.
17. Récompensez et motivez
Tout est désormais accessible tout le temps. Donnez aux internautes une raison de vous considérer comme faisant parti de leur relation économique avec la musique.
18. Tout est dans la fréquence
Une transaction qui se répète dans le temps est la plus fructueuse des stratégies commerciales dans l’industrie de la Culture. Si vous voulez que les internautes reviennent vous voir, donnez leur quelque chose de nouveau pour qu’ils le fasse.
19. Soyez viral
Quoi que vous fassiez, faites quelque chose que les internautes voudrons envoyer à leurs amis. Votre meilleur marketing est le bouche à oreille, car en ligne, il est exponentiel.
20. Oubliez le produit, vendez la relation
L’ancien modèle économique de la musique est dominé par l’idée de vendre un produit contre une somme d’argent. Le nouveau modèle économique consiste à initier une relation économique avec une communauté de fans et à la faire croître dans le temps.

Tout ce que vous devez savoir pour arrêter de fumer



Cinq millions de morts par an, 11 000 chaque jour : La cigarette est le seul produit de consommation dont l’utilisation tue directement............

Le nombre de décès devrait atteindre 8,4 millions en 2020 et 10 millions en 2030. Toute personne qui fume tous les jours doit être considérée comme fumeuse régulière. 80% des fumeurs sont des consommateurs réguliers et sont dépendants du tabac. En moyenne, 1 fumeur régulier sur 2 meurt prématurément des conséquences de son tabagisme. La moitié de ces décès se situe entre 35 et 69 ans.

Pour le Pr Taoufi FAASY Fehri, chef de service de pneumologie à l’hôpital Ibn Sina, ces données sont très alarmantes et doivent inciter, décideurs politiques, professionnels de santé et citoyens fumeurs et non fumeurs à déclarer la guerre, en usant de tous les moyens, pour stopper l’avancée de cette hécatombe qui hypothèque l’avenir de notre jeunesse.

Dans cet entretien avec la rédaction médicale de l’opinion, ce spécialiste des maladies pulmonaires et qui travaille vivement pour le développement des techniques de sevrage tabagique au Maroc, brosse un tableau sur l’ampleur de ce fléau dans notre pays et traçce quelques pistes pour aider ceux et celles qui veulent arrêter de fumer

Pourquoi le tabagisme est-il un probleme de santé publique ? Le tabagisme est un problème de santé publique dans le monde et au Maroc : Il est responsable de nombreuses maladies et il fait partit des principales causes de décès dans le monde.

On estime à 5 millions le nombre de décès imputables au tabac dans le monde, chaque année. En France, on évalue ce chiffre à 60 000 par an.

Le tabagisme entraine aussi un absenteïsme important et un cout financier non négligeable pour la société.

Connaît-on les chiffres du tabagisme au Maroc ?

On peut estimer le taux global de fumeurs au Maroc à 18% de la population. Mais ces chiffres varient énormément en fonction du sexe et du niveau d’éducation :

Hommes : 32% Femmes : 3.3 %

Plus les femmes ont un niveau d’éducation élevé (études supérieures), plus le tabagisme augmente ; chez l’homme, on obseve l’inverse.

Le marocain fumeur dépense en moyenne 20 dirhams par jour pour sa cigarette.

Rapportée à la population globale du Maroc, la consommation est estimée à plus de 700 cigarettes par an et par habitant.

Quel l’état actuel de la législation au Maroc ?

Elle repose sur le Dahir 1-95-110 publié en 1995 dans le BO. Ce dahir stipule :

1. l’interdiction de la publicité pour le tabac,

2. l’interdiction de fumer dans les lieux publics.

Actuellement, seul le premier point est appliqué.

La Maroc a également signé en 2004 la convention cadre de l’OMS, mais ne l’a pas encore ratifié.

De quoi se compose la fumée de tabac ?

Une cigarette contient plus de 2500 produits chimiques, la plupart toxiques pour l’organisme.

On retrouve :

LA NICOTINE : après inhalation de la fumée, elle atteint le cerveau en 5 secondes ! C’est elle qui entraine la dépendance physique et psychologique. C’est un poison violent : 8 gouttes de nicotine pure peuvent tuer un cheval en quelques minutes. Elle est aussi responsable des effets cardio-vasculaires du tabac.

LE CO (monoxyde de carbone) : gaz toxique qui se fixe sur l’hémoglobine à la place de l’oxygène. Il a aussi des effests nocifs sur le système cardio-vasculaire.

LES GOUDRONS : ils sont responsables des differents cancers, surtout le cancer du poumon.

LES IRRITANTS : ils diminuent les défenses immunitaires et favorisent les infections.

Mais on retrouve aussi de charmantes molécules comme la dioxine, l’arsenic le cadmium et bien d’autres.

Le tabac est surtout toxique pour les poumons (cancer et bronchite chronique), qu’en est-il des autres organes ?

Le risque principal du tabagisme, c’est le cancer du poumon (le seul cancer qui peut être prévenu, mais aussi le plus difficile à soigner quand il est là). A peu près au même niveau on retrouve les affections cardio-vasculaires (infarctus du myocarde, accident vasculaire cérébral hypertension artérielle), ainsi que les maladies respiratoires chroniques (bronchite chronique et emphysème).

Mais on retrouve aussi de nombreuses autres affections : artérites des membres inférieurs (compliquées parfois d’amputation), troubles gastriques, diminution de la mémoire, de l’acuité visuelle, de la libido. Il faut aussi noter les complications de la grossesse et de l’accouchement chez les fumeuses.

Quels sont les intérêts du sevrage tabagique ?

C’est bien sûr, éviter toutes les maladies que l’on vient de citer (prévéntion primaire), ou éviter leur complications ou leur aggravation quand elles sont déjà apparues (prévention secondaire).

Dans le premier cas, il a été scientifiquement prouvé que l’arrêt du tabac diminuait les risques de develloper ces maladies.

On peut aussi améliorer son état général en arrétant de fumer :

* Amélioration du souffle et de l’endurance, * Amélioration du gout et de l’odorat, * Teint plus clair, haleine plus fraiche, * Amélioration de la libido, * Donc : amélioration de la qualité de vie.

Certains bénéfices de l’arrêt du tabac sont parfois immédiats : l’oxygène dans le sang revient à la normale en 8 heures après le sevrage et le CO est éliminé en 24 heures.

Lorsque l’on fume depuis plusieurs années, n’y a-t-il pas un moment au-delà duquel il est trop tard pour arrêter de fumer ? NON ! Quelque soit l’ancienneté du tabagisme, il y a toujours des bienfaits l’arrêt.

Je ne fume que 5 cigarettes par jour, le risque pour les poumons et le cœur est donc minime... NON ! Le risque est moindre, mais il existe : en médecine on quantifie le tabagisme en paquet/année, c’est la quantité fumée totale qui compte.

La fumée d’autres fumeurs (tabagisme passif) pourrait-elle être nocive pour les non-fumeurs ?

Absolument ! Cela aussi aussi a été démontré : la fumée des autres fumeurs est tout aussi nocive chez les non fumeurs, surtout chez les enfants. On dit souvent : parents fumeurs/enfants tousseurs.

Comment peut-on lutter contre le tabagisme ?

1. Empêcher les jeunes de fumer

2. Aider les fumeurs à arrêter

Interdire la publicité, interdire la vente aux mineurs, augmenter le prix du paquet de cigarettes, campagnes de prévention et d’éducation dans les établissements scolaires.

Par des mesures individuelles comme les consultations d’aide au sevrage tabagique ou par des mesures plus générales : appliquer et durcir la législation, interdiction de fumer dans les lieux publics, campagnes d’information dans les médias. Pendant une consultation d’aide au sevrage, on évalue la dépendance au tabagisme ainsi que la motivation. Quand la personne est décidée, on propose un accompagnement médical, diététique et parfois psychologique. On peut souvent s’aider de substituts nicotiniques (path, gommes, spray) ou de médicaments qui vont diminuer l’accoutumance ainsi que les effets secondaires du sevrage.

Qu’appelle-t-on le conseil minimal ?

Si à chaque consultation, quel que soit le motif, chaque médecin pose à son malade 2 questions …1-Fumez-vous ? 2-Voulez-vous arrêter de fumer ? … on peut augmenter le pourcentage d’arrêts définitifs de 2 à 5%.

Le tabac rapport-il de l’argent à l’état ?

NON, c’est un mythe ! Par exemple, en France, les recettes fiscales du tabac ont rapporté 11 milliards d’euros en 2002, mais dans la même année, l’état a dépensé 28 milliards d’euros en soins.

Tout ce que vous devez savoir sur le crédit immobilier au Maroc.

Malgré une baisse des prix dans l’immobilier dans la plupart des pays Européens, il existe néanmoins quelques pays promis à un bel avenir. L'un de ces pays est le Maroc où le dirigeant actuel, le Roi Mohammed a introduit un grand nombre de projets qui promettent de propulser ce petit pays à un plus haut niveau d’ici à l'an 2010.

Avec le développement de routes qui mènent à six nouvelles stations côtières et d’autres infrastructures prévues pour les prochaines années, le Maroc verra sûrement de plus en plus de touristes quand les choses se préciseront. Ces touristes feront entrer des sommes importantes d'argent et déclencheront ainsi une forte demande pour les propriétés locatives. Par conséquent, le moment est propice pour investir dans le marché immobilier marocain même si vous n'avez pas toutes les ressources financières nécessaires pour un tel investissement.

Si vous êtes intéressé par l'achat d'une propriété au Maroc, vous devrez déposer environ 30% de la valeur de la propriété et serez éligible pour un prêt de 70% avec des prêteurs privés ou certaines banques marocaines. Les banques ont leurs propres experts qui inspecteront la propriété que vous prévoyez d'acheter pour l’évaluer selon leurs termes. Au Maroc, Il est rare de trouver des prêts hypothécaires avec remboursement des intérêts seulement. Cependant, vous pourrez toujours bénéficier d’un prêt hypothécaire pour votre propriété marocaine ou même d’un 1er ou 2ème crédit immobilier d'un prêteur aux Etats-Unis, Royaume Uni ou en Irlande pour votre propriété basée dans ces pays. Ainsi, si la valeur de votre propriété dans votre pays d’origine a augmenté, il vous sera très facile de bénéficier d’un prêt immobilier. Les taux d'intérêt varient de 5.5% à 7% en fonction du prêteur et des différents termes et conditions établis et, vous pourrez même obtenir un prêt immobilier sur une période de 15 ans.

Si vous voulez acquérir la propriété idéale, il est essentiel de retenir les services d'un bon agent immobilier qui a une connaissance approfondie de la topographie locale du Maroc. En plus de cet agent qualifié, vous aurez également besoin des services d'un avocat expérimenté qui a déjà traité des dossiers sur des affaires immobilières semblables. Un bon prêteur et une bonne offre de prêt immobilier vous aideront à conclure la meilleure affaire qui soit.

Vous pouvez acheter une maison en construction avec un promoteur immobilier ou choisir une propriété en revente. Dans le second cas, il vous faudra minutieusement examiner le titre de propriété. Il vous faudra également faire votre propre inspection pour toute propriété que vous envisagez d'acheter afin d’éviter une grosse facture de réparation plus tard. Votre avocat, votre agent et votre prêteur devraient pouvoir converser en anglais et autres langues locales. Ainsi vous éviterez tous malentendu pendant et après la conclusion du marché et le transfert de la propriété en votre nom. En outre, il faudra vous familiariser avec les différents impôts sur l’achat, la location ou la vente de votre propriété, de même que les impôts qui pourront s’appliquer à votre prêt immobilier.

Le marché hypothécaire est encore à ses débuts au Maroc, mais avec l'aide des meilleurs agents, avocats et prêteurs, vous pouvez obtenir un crédit idéal pour la propriété que vous prévoyez d'acheter. Les choix de financement immobiliers sont actuellement limités. Cependant, comme le Maroc ouvre ses frontières à un plus grand nombre de touristes et investisseurs, la situation pourra s'améliorer à l'avenir.

Tout ce que vous devez savoir lorsque vous achetez une maison au Maroc

Le Maroc est le meilleur endroit pour acheter une maison. Avant d’acheter une maison, on a tendance à inspecter toutes ses commodités et infrastructures.
Grâce au Roi Mohamed, le Maroc a bénéficié d’une nette amélioration de ses infrastructures et équipements. Ce grand changement a incité beaucoup de gens à acheter une maison dans ce merveilleux pays.

Le Maroc a un emplacement de choix entre le versant de la Méditerranée et celui de l'Atlantique. Ses plages immaculées attirent de nombreux amoureux de la nature à s’offrir une maison le long de la côte. Vous pouvez vous offrir une maison dans les banlieues marocaines et savourer une vie paisible. Les centres-villes sont également
très modernes et ensoleillés avec de beaux marchés où vous pouvez trouver un peu de tout.

Les propriétés immobilières au Maroc sont spéciales et uniques en leur genre. La combinaison de constructions traditionnelles et modernes vous offre un choix varié d’immeubles, villas et résidences et ce, dans un bel ensemble architectural. Toutes les maisons sont construites selon un plan harmonieux. Les nouvelles constructions sont conçues de façon à compléter les vieilles structures.

Le littoral est l’endroit le plus recherché pour les investissements immobiliers. Beaucoup de gens préfèrent les résidences sur le front de mer, là où se trouvent les plus beaux appartements. La plupart choisissent les propriétés situées le long de la côte afin de les louer facilement aux touristes. Cela peut s’avérer être un très bon investissement qui vous apportera de gros bénéfices.

Une fois que vous aurez trouvé l’endroit idéal au Maroc pour acheter une maison, il vous faudra trouver un notaire. Pour l’achat d’une maison au Maroc, le notaire joue un rôle très important. Le notaire vous facilite la procédure à suivre. Pour l’établissement des différents documents de la maison, vous aurez besoin d'un avocat. L'avocat vous aidera à comprendre et à remplir toutes les obligations légales liées à l’achat d’une maison au Maroc.

Vous pouvez être propriétaire d’une maison seulement quelques jours après l’avoir acheté. Cependant, si vous achetez une ancienne maison, cela pourrait prendre un peu plus de temps. Souvent, l’accomplissement des formalités légales peut prendre une année pour les anciennes propriétés immobilières car il vous faut absolument le consentement de la famille du vendeur.

Le notaire vous aidera à accomplir toutes les formalités légales. Vous obtiendriez également une ébauche du contrat final, qui doit être signé et retourné à l’envoyeur. Cependant, vous devez prendre soin de signer ce contrat en présence d'un Notaire. Si pour quelque raison que ce soit, vous ne pouvez pas vous rendre au Maroc pour cette étape, vous pouvez donner une procuration à quelqu'un d'autre qui s’en chargera.

Bien que le notaire soit présent dans tout le processus d'achat de la maison, il est recommandé de retenir les services d’un avocat qui pourra vous conseiller sur les questions juridiques. Même si ce dernier n’est pas indispensable, il sera d'un grand secours, surtout si vous avez trouvé une maison sur les côtes marocaines.

Si vous vous attachez les services d’un notaire renommé et expérimenté, vous n'aurez aucun problème pour acheter votre maison au Maroc. Le Maroc est une terre magnifique et rien ne devrait vous empêcher d’y acquérir une belle maison.

Tout ce que vous devez savoir sur l'épidémie de grippe dans le premier siècle et vingt-athée

Pandémie de grippe A H1N1 :
Il reste très peu de temps
pour vous informer et pour vous mobiliser.
Dans deux mois, ce sera trop tard…

Comme de plus en plus d’individus conscients,
j'ai choisi de me consacrer entièrement à ce dossier,
pour dénoncer les mensonges et les manipulations.
C’est ma part d’engagement…

Je vous demande de faire votre part :
diffusez ces informations
à tout votre carnet d’adresses, sur vos blogs
et vos sites Internet.
C’est votre vie qui est en jeu.

Si vous n’avez pas reçu ce courriel directement,
inscrivez-vous pour recevoir
les prochains courriels :
promethee@videotron .qc.ca

Madame, Monsieur,
Chers amis,

Je vous avais promis de vous informer. C’est ce que je fais. En attendant la sortie de ma première capsule vidéo, je vous écris. Parce que c’est plus fort que moi. Et parce que les jours nous sont comptés. L’objectif de ce courriel est double.

Premier objectif : je veux vous rappeler la tenue à Montréal d’un congrès exceptionnel qui aura lieu ce samedi 12 septembre, de 9 heures à 22 heures (heure de Montréal). Ce congrès est la première conférence pour la liberté de Choix en Santé. Si vous êtes loin de Montréal, vous pourrez suivre en ligne tout le déroulement de ce congrès, en direct et en différé.

Si vous voulez savoir de quoi traitera ce congrès, cliquez sur le lien qui annonce l’événement : http://www.youtube. com/watch? v=NbMWPTM2yhs

Connaissant bien les politiques de santé tant en Amérique du Nord qu’en Europe, je vous assure que vous y trouverez beaucoup d’informations qui s’appliquent à notre réalité. Seuls les noms des lois et des ministres diffèrent. Mais ce sont les mêmes compagnies pharmaceutiques qui imposent leurs lois iniques et liberticides à des politiciens devenus pantins et hommes de paille. Si vous voulez comprendre ce qui nous attend dans les mois qui viennent, de grâce, prenez le temps de suivre cette conférence. C’est tout simplement votre santé, votre liberté et votre vie qui sont en jeu.

Pour vous inscrire, cliquez sur le lien suivant : http://www.tele- sante.com/ conference_ flcs_12sept09_ webdiffusion. html

Et si vous croyez encore naïvement que le plan de vaccination obligatoire n’aura pas lieu, je vous invite à tenter de répondre aux questions que je me pose depuis que je suis ce dossier de la grippe porcine. Tel est le second objectif de ce courriel : vous partager quelques-unes de mes nombreuses questions et interrogations à propos de cette fameuse pandémie de grippe H1N1, et vous inviter à y répondre par vous-même puis à tirer vos propres conclusions.

pourquoi, Madame Bachelot (ministre de la santé en France) a-t-elle demandé début février 2009, à un groupe de légistes constitutionnaliste s, un mémo sur la question suivante : l’imposition d’un plan de vaccination à toute la population serait-elle illégale et anticonstitutionnel le ? Ce sur quoi les experts l’ont rassurée, invoquant qu’une situation exceptionnelle et qu’un état d’urgence sanitaire justifiait amplement qu’on supprime toutes les libertés individuelles !
pourquoi l’Organisation Mondiale de la Santé a-t-elle modifié, le 27 avril 2009, sa définition de la pandémie ? Auparavant, pour déclarer une pandémie, les contraintes étaient beaucoup plus sévères ! Maintenant, il suffit que la maladie soit identifiée dans deux pays d’une même zone OMS !
comment se fait-il que le brevet du vaccin contre la grippe porcine (H1N1) a été déposé en 2007 (bien avant la réapparition du virus disparu depuis la fameuse épidémie de grippe espagnole, en 1918) ?
par quel hasard le président Sarkozy a-t-il eu l’intuition d’aller signer un contrat d’investissement d’un montant de 100 millions d’euros, le 9 mars 2009, pour la construction d’une usine de fabrication de vaccins contre la grippe ? Et devinez où ! Au Mexique, là où justement, le foyer de la pandémie a pris naissance !
pourquoi aucun média et aucun expert scientifique ne rappellent que la grippe ordinaire tue chaque année entre 250.000 et 500.000 personnes, soit plus de 1.000 morts par jour (ce sont les chiffres officiels de l’Organisation Mondiale de la Santé) ?
pourquoi tous les médias du monde répètent-ils quotidiennement que le virus de la grippe A H1N1 va provoquer une hécatombe de victimes, alors que les faits démontrent qu’il s’agit d’une simple grippette (moins grave que la grippe saisonnière ordinaire) qui n’a fait que 2.000 morts en plus de cinq mois ? La grippe ordinaire en aurait fait, pendant ce même laps de temps, 200.000 morts !
pourquoi, malgré ces chiffres de morbidité et de mortalité insignifiants (2.000 au lieu de 200.000), la plupart des pays du Monde ont passé des commandes faramineuses pour des centaines de millions de doses de vaccin, et ce, dès le mois de juin 2009 ?
autrement dit, pourquoi met-on en place des mesures exceptionnelles cette année, alors que la grippe est moins virulente que les autres années ? Qu’est-ce qui, dans les faits, justifie de telles décisions alors qu’il n’y a rien d’exceptionnel ?
pourquoi des lois d’exception (lois martiales) ont-elles déjà été votées dans la plupart des pays (sans en révéler le contenu) ?
pourquoi le Ministre de l’Intérieur Français a-t-il rappelé tous les réservistes de l’armée et de la gendarmerie, en février 2009, en vue (je cite) « de graves troubles sociaux prévus pour la fin de l’été 2009 » (c’est-à-dire septembre) ?
pourquoi l’armée américaine vient d’être déployée sur tout le territoire des Etats-Unis ?
pourquoi plus de 800 camps de concentration ont-ils été installés aux Etats-Unis, ces dernières années (pour l’instant, ils sont vides) ? Pourquoi sont-ils gérés par la FEMA (Federal Emergency Management Agency), qui intervient lors des grandes catastrophes sur le territoire (comme lors du cyclone Katrina) ?
pourquoi des centaines de milliers de cercueils sont-ils entreposés dans tous les états américains et pourquoi des fosses communes ont été creusées dans chaque district ?
pourquoi 600 neurologues britanniques ont-ils reçu, le 29 juillet 2009, une lettre confidentielle du Health Protection Agency (HPA), les invitant à être particulièrement attentifs à la future recrudescence du syndrome de Guillain Barré (maladie neurologique dégénérative gravissime déclenchée la plupart du temps par l’acte vaccinal) ? Et pourquoi cette même agence n’a-t-elle pas prévenu le public qui va « bénéficier » de cette campagne de vaccination ?
comment se fait-il que le 5 mars 2009, la firme Baxter a contaminé 72 kg de matériel vaccinal, mélangeant les virus H5N1 de la grippe aviaire et H3N2 de la grippe ordinaire, avant de les envoyer dans six pays différents, alors que les procédures de sécurité dans ce genre de laboratoire rendent cet accident absolument impossible ? Impossible sauf si l’acte devient volontaire. Cela m’a été confirmé par un docteur en biologie.
pourquoi ne nous dit-on pas que le vaccin contre la grippe, depuis 40 ans qu’il existe, n’a jamais eu d’impact positif sur l’incidence de cette maladie, au contraire ? Une étude internationale a démontré que les vaccinés attrapaient plus souvent la grippe que les non-vaccinés.
pourquoi nous cache-t-on qu’en 1918, ce sont les personnes vaccinées qui sont mortes de la grippe espagnole, et pas les non-vaccinées ? Cela voudrait-il dire qu’elles ont été tuées par le vaccin lui-même, et pas par la grippe ?
si les vaccins ont si peu d’effets secondaires, comment les autorités sanitaires expliquent-elles que le nombre de scléroses en plaques en France est passé de 25.000 à 85.000, suite à la campagne de vaccination contre l’hépatite B ?
pourquoi nous cache-t-on que toutes les épidémies du XXe siècle ont été déclenchées par des campagnes de vaccination préalables ?
pourquoi autorise-t-on de mettre dans le futur vaccin contre la grippe H1N1, un adjuvant tel que le squalène (dans une proportion un million de fois plus importante – j’ai revérifié les calculs, car je n’y croyais pas !), alors que la Chambre des Représentants l’avait reconnu explicitement responsable du syndrome de la première guerre du Golfe, syndrome qui avait rendu 180.000 GI’s malades (25 % des soldats) suite à l’injection du vaccin contre l’anthrax ? À noter que le squalène avait été interdit par un juge fédéral en 2004 !
pourquoi les premières populations visées par la vaccination sont-elles les femmes enceintes et les enfants, alors qu’habituellement, ce sont les vieux qu’on vise ? Eux, paraît-il, auraient une mémoire immunitaire de la grippe espagnole de 1918 !!!
pourquoi les procédures de vaccination obligatoire seront-elles confiées, non pas à des médecins, mais à des étudiants volontaires et des militaires ?
pourquoi aucun médecin et aucun hôpital ne pourra dispenser les vaccins eux-mêmes ? Craindraient- ils de faux certificats ?
pourquoi 50 % des médecins anglais disent qu’ils refuseront de se faire vacciner avec le nouveau vaccin, parce qu’ils n’ont pas confiance en la procédure de préparation ?
pourquoi présente-t-on le Tamiflu comme un antiviral efficace, alors que toutes les campagnes d’utilisation de ce produit se sont révélées catastrophiquement inefficaces ? De plus, ce médicament provoque de nombreux désordres psychologiques et neuronaux, allant jusqu’à provoquer des suicides en nombre chez ceux qui en consomment !
pourquoi les autorités sanitaires, censées vouloir notre bien et notre protection, autorisent-elles qu’un nouveau type de vaccin (ce sont leurs mots) soit testé directement sur des centaines de millions de cobayes (c’est-à-dire nous), sans que les protocoles normaux de Mise en Marché ne soient respectés, et sans aucune garantie d’innocuité dudit vaccin ?

Je pourrais continuer comme cela encore des heures. Mais je m’arrête là, car les autres questions iraient toujours dans le même sens. Je n’ai plus le temps, pour l’instant, de vous mettre toutes les références d’articles des journaux officiels (le Monde, le Figaro, le Daily Post, le Journal du dimanche, etc.), des sites officiels (de l’OMS, de Baxter, d’Aventis, de Sanofi-Pasteur, etc.) et des déclarations de scientifiques pro-vaccinalistes que j’ai consultées ! Vous trouverez tout cela sur mon site, d’ici la fin du mois de septembre.

Mais je vous garantis sur l’honneur que toutes les questions que je pose ci-dessus se basent uniquement sur des lectures de documents officiels et accessibles à tous ! Ce ne sont pas des allégations, des suppositions, des supputations de théoriciens du grand complot ! C’est cela qui fait qu’il est impératif de se poser de telles questions ! Et de tirer les conclusions qui s’imposent.

Pour ma part, c’est fait. Et j’ai pris position clairement.
Autrement dit, tant qu’on ne m’obligera pas à fermer ma gueule, je continuerai à vous informer.

Il y a, par contre, une question que je vais poser ici et à laquelle je vais répondre, car beaucoup de mes interlocuteurs ne comprennent pas cela (j’ai reçu des centaines de courriels en une semaine !!! Merci à ceux qui m’ont traité de pauvre connard et de manipulateur. Merci surtout à tous ceux qui ont relayé l’information à des dizaines de milliers de personnes en Europe et au Canada. Merci particulièrement à tous ceux qui prient pour moi, pour l’instant. J’ai été très touché et ému.)

La question est : comment un virus aussi bénin va-t-il s’y prendre pour tuer des millions de personnes ? Ça, c’est la question à un million de dollars !!!

Eh bien c’est l’histoire des pandémies du passé qui nous apporte la réponse. La recette est simple (en douze étapes, déjà expérimentées en 1918 avec succès) :

on annonce qu’un foyer d’une nouvelle grippe vient d’apparaître au Mexique et que c’est très grave, car c’est un virus animal qui s’est transmis à l’homme !
on annonce ensuite 350 morts en une semaine, pour rectifier ensuite le décompte à 8 morts. Mais tout le monde a retenu qu’il y avait eu beaucoup de morts dès le début (ça ne vous rappelle rien, ça : le 11 septembre, on nous a annoncé à la télévision 40 à 50.000 morts dans les Twin Towers – ce qui a justifié la croisade contre les forces du Mal – puis, on a révisé le nombre de morts à 2.974) ;
on annonce à grand renfort de publicité quotidienne que ce terrible virus se propage à une vitesse incroyable sur toute la planète (alors que par ailleurs, aucun laboratoire du monde ne dispose de la souche du virus pour confirmer que c’est bien ce virus qui est en cause, et pas le virus ordinaire – on reconnaît par ailleurs que la grippe porcine ne présente aucun symptôme spécifique par rapport à ceux de la grippe ordinaire – alors, comment font-ils pour compter le nombre de cas ???) ;
devant le peu de virulence dudit virus, on nous annonce que ce gentil virus (finalement) va muter et va devenir TRÈS méchant, et que l’on sait qu’il va muter à une date précise (celle de la sortie des vaccins, quelle coïncidence quand même !) ;
pendant tout ce temps, on prépare des produits en laboratoire dont on dit qu’ils sont des vaccins, et dans lesquels on mélange deux souches de la grippe porcine, deux souches de la grippe aviaire et une souche de la grippe humaine (cocktail tout à fait explosif, lorsqu’il sera injecté dans le corps !). De plus, on rajoute (en plus grande quantité que d’habitude) des adjuvants (mercure, aluminium et squalène), reconnus pour leur grande toxicité ;
peu avant la sortie des soi-disant vaccins (qui sont en réalité, ici, des armes bactériologiques) , les médias se déchaînent pour nous annoncer qu’il y a une recrudescence de cas de grippe. Même si les médecins ne prennent plus la peine de vérifier s’il s’agit bien du même virus, le peuple est tellement hypnotisé qu’il ne réfléchit plus. Il est persuadé que la mutation annoncée est en train de se réaliser ;
on annonce aussi que tous les vaccins ne seront pas disponibles immédiatement et qu’il y aura des chanceux qui pourront en bénéficier tout de suite, et d’autres devront attendre jusqu’à quatre mois pour enfin recevoir le vaccin salvateur ! À noter que nous en sommes là, pour l’instant, dans la chronologie des événements.
dès la sortie des premières armes bactériologiques déguisées en vaccins, le bon peuple apeuré court se faire vacciner volontairement, dans les centres spécialement préparés à cet effet (et encadrés par des militaires). Ici au Canada, les gens s’inscrivent sur des listes d’attente pour être certains d’être parmi les premiers vaccinés !
dès l’injection du vaccin, le cocktail préparé soigneusement par les laboratoires entraîne la mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du patient, rendant les virus extrêmement mortels. Dans le même temps, les adjuvants auront mis par terre le système immunitaire. La Tamiflu sera utilisé pour provoquer une surinfection (cas déjà observés dans plusieurs pays) entraînant immédiatement la mort de la personne. Conséquence : il y aura des milliers de morts parmi les premières populations vaccinées ;
on nous dira alors que, malheureusement, ce qu’on craignait est arrivé : le virus a muté sous une forme mortelle. On attribuera la cause des décès au virus, et pas au gentil vaccin censé nous protéger ! Une panique s’emparera de la population, qui réclamera qu’on les vaccine d’urgence ;
vu la gravité de la situation sanitaire, vu les troubles engendrés, d’une part par ceux qui réclameront avec force leur vaccin, d’autre part par ceux qui accuseront les autorités sanitaires de génocidaires, l’état d’urgence sera déclaré dans tout le pays et le plan de vaccination obligatoire sera mis en place ;
ceux qui refuseront de se faire vacciner devront se cacher ou disparaître pendant un temps suffisamment long, à moins qu’on ne les fasse disparaître dans des camps de concentration prévus à cet effet.

Ce scénario, je vous l’écris en cette nuit du 9 au 10 septembre 2009. Je ne le fais pas du tout de gaieté de coeur.
Je sais que certains parmi vous me reprocheront d’alimenter la peur qui est déjà créée par les élites lumineuses, et de finalement, faire le jeu de ceux que je dénonce. À cela, je vous citerai une phrase de Jésus-Christ (même si je n’appartiens plus à aucune religion) : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres ! » (Jean 8:32).

Je vous offre ici une synthèse de tout ce que j’ai lu depuis cinq mois (dont deux mois à temps plein). Mon objectif, c’est de décrypter pour vous les informations qui nous sont cachées (même si elles sont disponibles publiquement – faites vos recherches avec Google – vous verrez !), afin que vous ne cédiez pas à la panique lorsque l’hécatombe commencera. Afin que vous compreniez quelle est la cause réelle de ce que vous verrez.

Maintenant, que pouvons-nous faire, me direz-vous ? Pour l’instant, la chose qui me paraît la plus importante, c’est que vous diffusiez cette information à TOUS vos contacts. Imprimez ce courriel, découpez-le en morceaux s’il vous paraît trop long, donnez-le à tous vos amis, à toutes vos connaissances. Si vous êtes parents d’enfants allant à l’école, constituez immédiatement des comités de résistance à ce plan génocidaire. Dans deux mois, il sera trop tard. Et vous devez savoir que les écoles seront bouclées pour pouvoir vacciner vos enfants. Si vous n’êtes pas organisés maintenant, vous serez démunis le 15 novembre, lorsque le plan se mettra en marche. Allez parler à tous les policiers, à tous les gendarmes que vous connaissez car eux aussi, sont maintenus dans l’ignorance de ce plan (et ils ne seront pas vaccinés par les mêmes produits, pour ne pas tomber malades, eux !). Expliquez-leur qu’ils vont participer, sans le savoir, à un génocide programmé contre la population. Rappelez-vous que si les nazis ont pu déporter autant de personnes vers les camps de la mort, c’est parce qu’ils ont bénéficié de l’aide de la police française qui n’avait pas compris ce qui se passait. Allez parler aussi à vos représentants politiques, car la plupart d’entre eux ne savent pas ce qui se trame. Demandez-leur de ne pas coopérer, de saboter le plan, de faire détruire les fichiers de population, pour que le recensement des vaccinés et des non vaccinés devienne un casse-tête.

Cette activité devrait devenir votre tâche prioritaire. Car la seule manière d’enrayer ce plan diabolique, c’est de réunir une masse critique de gens conscients. Gandhi ne disait-il pas : « un individu conscient et debout est bien plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et inconscients. » J’en suis convaincu.

Par contre, ne perdez pas votre temps avec les hauts dirigeants de l’État, les grands médias et les experts payés (achetés) par les laboratoires pharmaceutiques. Ne perdez pas non plus votre temps avec les sceptiques, les indécrottables du petit écran pour qui seule la parole des médias est l’évangile. Méfiez-vous même de leur réaction, car ils pourraient vous accuser de chercher à les tuer en les empêchant de se faire vacciner.

Et si vous avez peur en lisant mon courriel, transformez cette peur en action, en mouvement. C’est toujours comme cela que l’humanité a fait des bonds dans son évolution : c’est en transformant sa peur du feu en maîtrise du feu que l’homme a inventé la technique. Ici, l’enjeu est de taille : c’est en transformant votre peur de la mort que vous pourrez accéder à une nouvelle dimension, à une nouvelle vibration. Rappelez-vous que nous ne sommes pas des êtres matériels vivant des expériences spirituelles. Nous sommes des êtres spirituels vivant l’expérience fabuleuse de l’incarnation.

Personnellement, je suis très conscient de ce que je risque en prenant cette position, à découvert. Depuis quelque temps, je vis avec la perspective qu’il se pourrait que je ne sois plus de ce monde dans les semaines qui viennent. Et je découvre une perspective fabuleuse à mon existence. Souvent, je me suis posé la question de façon théorique : s’il me restait un an à vivre, quels choix de vie ferai-je pour que je puisse entrer dans la mort sereinement et sans regret ? Aujourd’hui, cette question n’est plus théorique pour moi. Et je me rends compte que beaucoup de mes valeurs se transforment de façon encore plus radicale. Et beaucoup de choses qui me causaient du souci deviennent tellement secondaires. ..

Et cette phrase de saint Matthieu résonne dans ma tête : que votre oui soit un oui, que votre non soit un non, (Matthieu 5:37).
Serons-nous capable de dire non à l’infamie, au risque de notre vie corporelle ? Serons-nous capables de dire oui à ce que notre âme nous dicte de faire ? Serons-nous capable de nous mettre debout, quel que soit le prix à payer ?

Tel est le cadeau que ce plan de pandémie nous offre en cette fin d’année 2009. Si nous sommes à la hauteur du défi (et je sais que nous le sommes), ce vaccin deviendra notre pierre philosophale et nous transformera en alchimistes, pour réaliser le grand oeuvre.

Tout ce que vous devez savoir sur l'épidémie de grippe dans le premier siècle et vingt-athée

Pandémie de grippe A H1N1 :
Il reste très peu de temps
pour vous informer et pour vous mobiliser.
Dans deux mois, ce sera trop tard…

Comme de plus en plus d’individus conscients,
j'ai choisi de me consacrer entièrement à ce dossier,
pour dénoncer les mensonges et les manipulations.
C’est ma part d’engagement…

Je vous demande de faire votre part :
diffusez ces informations
à tout votre carnet d’adresses, sur vos blogs
et vos sites Internet.
C’est votre vie qui est en jeu.

Si vous n’avez pas reçu ce courriel directement,
inscrivez-vous pour recevoir
les prochains courriels :
promethee@videotron .qc.ca

Madame, Monsieur,
Chers amis,

Je vous avais promis de vous informer. C’est ce que je fais. En attendant la sortie de ma première capsule vidéo, je vous écris. Parce que c’est plus fort que moi. Et parce que les jours nous sont comptés. L’objectif de ce courriel est double.

Premier objectif : je veux vous rappeler la tenue à Montréal d’un congrès exceptionnel qui aura lieu ce samedi 12 septembre, de 9 heures à 22 heures (heure de Montréal). Ce congrès est la première conférence pour la liberté de Choix en Santé. Si vous êtes loin de Montréal, vous pourrez suivre en ligne tout le déroulement de ce congrès, en direct et en différé.

Si vous voulez savoir de quoi traitera ce congrès, cliquez sur le lien qui annonce l’événement : http://www.youtube. com/watch? v=NbMWPTM2yhs

Connaissant bien les politiques de santé tant en Amérique du Nord qu’en Europe, je vous assure que vous y trouverez beaucoup d’informations qui s’appliquent à notre réalité. Seuls les noms des lois et des ministres diffèrent. Mais ce sont les mêmes compagnies pharmaceutiques qui imposent leurs lois iniques et liberticides à des politiciens devenus pantins et hommes de paille. Si vous voulez comprendre ce qui nous attend dans les mois qui viennent, de grâce, prenez le temps de suivre cette conférence. C’est tout simplement votre santé, votre liberté et votre vie qui sont en jeu.

Pour vous inscrire, cliquez sur le lien suivant : http://www.tele- sante.com/ conference_ flcs_12sept09_ webdiffusion. html

Et si vous croyez encore naïvement que le plan de vaccination obligatoire n’aura pas lieu, je vous invite à tenter de répondre aux questions que je me pose depuis que je suis ce dossier de la grippe porcine. Tel est le second objectif de ce courriel : vous partager quelques-unes de mes nombreuses questions et interrogations à propos de cette fameuse pandémie de grippe H1N1, et vous inviter à y répondre par vous-même puis à tirer vos propres conclusions.

pourquoi, Madame Bachelot (ministre de la santé en France) a-t-elle demandé début février 2009, à un groupe de légistes constitutionnaliste s, un mémo sur la question suivante : l’imposition d’un plan de vaccination à toute la population serait-elle illégale et anticonstitutionnel le ? Ce sur quoi les experts l’ont rassurée, invoquant qu’une situation exceptionnelle et qu’un état d’urgence sanitaire justifiait amplement qu’on supprime toutes les libertés individuelles !
pourquoi l’Organisation Mondiale de la Santé a-t-elle modifié, le 27 avril 2009, sa définition de la pandémie ? Auparavant, pour déclarer une pandémie, les contraintes étaient beaucoup plus sévères ! Maintenant, il suffit que la maladie soit identifiée dans deux pays d’une même zone OMS !
comment se fait-il que le brevet du vaccin contre la grippe porcine (H1N1) a été déposé en 2007 (bien avant la réapparition du virus disparu depuis la fameuse épidémie de grippe espagnole, en 1918) ?
par quel hasard le président Sarkozy a-t-il eu l’intuition d’aller signer un contrat d’investissement d’un montant de 100 millions d’euros, le 9 mars 2009, pour la construction d’une usine de fabrication de vaccins contre la grippe ? Et devinez où ! Au Mexique, là où justement, le foyer de la pandémie a pris naissance !
pourquoi aucun média et aucun expert scientifique ne rappellent que la grippe ordinaire tue chaque année entre 250.000 et 500.000 personnes, soit plus de 1.000 morts par jour (ce sont les chiffres officiels de l’Organisation Mondiale de la Santé) ?
pourquoi tous les médias du monde répètent-ils quotidiennement que le virus de la grippe A H1N1 va provoquer une hécatombe de victimes, alors que les faits démontrent qu’il s’agit d’une simple grippette (moins grave que la grippe saisonnière ordinaire) qui n’a fait que 2.000 morts en plus de cinq mois ? La grippe ordinaire en aurait fait, pendant ce même laps de temps, 200.000 morts !
pourquoi, malgré ces chiffres de morbidité et de mortalité insignifiants (2.000 au lieu de 200.000), la plupart des pays du Monde ont passé des commandes faramineuses pour des centaines de millions de doses de vaccin, et ce, dès le mois de juin 2009 ?
autrement dit, pourquoi met-on en place des mesures exceptionnelles cette année, alors que la grippe est moins virulente que les autres années ? Qu’est-ce qui, dans les faits, justifie de telles décisions alors qu’il n’y a rien d’exceptionnel ?
pourquoi des lois d’exception (lois martiales) ont-elles déjà été votées dans la plupart des pays (sans en révéler le contenu) ?
pourquoi le Ministre de l’Intérieur Français a-t-il rappelé tous les réservistes de l’armée et de la gendarmerie, en février 2009, en vue (je cite) « de graves troubles sociaux prévus pour la fin de l’été 2009 » (c’est-à-dire septembre) ?
pourquoi l’armée américaine vient d’être déployée sur tout le territoire des Etats-Unis ?
pourquoi plus de 800 camps de concentration ont-ils été installés aux Etats-Unis, ces dernières années (pour l’instant, ils sont vides) ? Pourquoi sont-ils gérés par la FEMA (Federal Emergency Management Agency), qui intervient lors des grandes catastrophes sur le territoire (comme lors du cyclone Katrina) ?
pourquoi des centaines de milliers de cercueils sont-ils entreposés dans tous les états américains et pourquoi des fosses communes ont été creusées dans chaque district ?
pourquoi 600 neurologues britanniques ont-ils reçu, le 29 juillet 2009, une lettre confidentielle du Health Protection Agency (HPA), les invitant à être particulièrement attentifs à la future recrudescence du syndrome de Guillain Barré (maladie neurologique dégénérative gravissime déclenchée la plupart du temps par l’acte vaccinal) ? Et pourquoi cette même agence n’a-t-elle pas prévenu le public qui va « bénéficier » de cette campagne de vaccination ?
comment se fait-il que le 5 mars 2009, la firme Baxter a contaminé 72 kg de matériel vaccinal, mélangeant les virus H5N1 de la grippe aviaire et H3N2 de la grippe ordinaire, avant de les envoyer dans six pays différents, alors que les procédures de sécurité dans ce genre de laboratoire rendent cet accident absolument impossible ? Impossible sauf si l’acte devient volontaire. Cela m’a été confirmé par un docteur en biologie.
pourquoi ne nous dit-on pas que le vaccin contre la grippe, depuis 40 ans qu’il existe, n’a jamais eu d’impact positif sur l’incidence de cette maladie, au contraire ? Une étude internationale a démontré que les vaccinés attrapaient plus souvent la grippe que les non-vaccinés.
pourquoi nous cache-t-on qu’en 1918, ce sont les personnes vaccinées qui sont mortes de la grippe espagnole, et pas les non-vaccinées ? Cela voudrait-il dire qu’elles ont été tuées par le vaccin lui-même, et pas par la grippe ?
si les vaccins ont si peu d’effets secondaires, comment les autorités sanitaires expliquent-elles que le nombre de scléroses en plaques en France est passé de 25.000 à 85.000, suite à la campagne de vaccination contre l’hépatite B ?
pourquoi nous cache-t-on que toutes les épidémies du XXe siècle ont été déclenchées par des campagnes de vaccination préalables ?
pourquoi autorise-t-on de mettre dans le futur vaccin contre la grippe H1N1, un adjuvant tel que le squalène (dans une proportion un million de fois plus importante – j’ai revérifié les calculs, car je n’y croyais pas !), alors que la Chambre des Représentants l’avait reconnu explicitement responsable du syndrome de la première guerre du Golfe, syndrome qui avait rendu 180.000 GI’s malades (25 % des soldats) suite à l’injection du vaccin contre l’anthrax ? À noter que le squalène avait été interdit par un juge fédéral en 2004 !
pourquoi les premières populations visées par la vaccination sont-elles les femmes enceintes et les enfants, alors qu’habituellement, ce sont les vieux qu’on vise ? Eux, paraît-il, auraient une mémoire immunitaire de la grippe espagnole de 1918 !!!
pourquoi les procédures de vaccination obligatoire seront-elles confiées, non pas à des médecins, mais à des étudiants volontaires et des militaires ?
pourquoi aucun médecin et aucun hôpital ne pourra dispenser les vaccins eux-mêmes ? Craindraient- ils de faux certificats ?
pourquoi 50 % des médecins anglais disent qu’ils refuseront de se faire vacciner avec le nouveau vaccin, parce qu’ils n’ont pas confiance en la procédure de préparation ?
pourquoi présente-t-on le Tamiflu comme un antiviral efficace, alors que toutes les campagnes d’utilisation de ce produit se sont révélées catastrophiquement inefficaces ? De plus, ce médicament provoque de nombreux désordres psychologiques et neuronaux, allant jusqu’à provoquer des suicides en nombre chez ceux qui en consomment !
pourquoi les autorités sanitaires, censées vouloir notre bien et notre protection, autorisent-elles qu’un nouveau type de vaccin (ce sont leurs mots) soit testé directement sur des centaines de millions de cobayes (c’est-à-dire nous), sans que les protocoles normaux de Mise en Marché ne soient respectés, et sans aucune garantie d’innocuité dudit vaccin ?

Je pourrais continuer comme cela encore des heures. Mais je m’arrête là, car les autres questions iraient toujours dans le même sens. Je n’ai plus le temps, pour l’instant, de vous mettre toutes les références d’articles des journaux officiels (le Monde, le Figaro, le Daily Post, le Journal du dimanche, etc.), des sites officiels (de l’OMS, de Baxter, d’Aventis, de Sanofi-Pasteur, etc.) et des déclarations de scientifiques pro-vaccinalistes que j’ai consultées ! Vous trouverez tout cela sur mon site, d’ici la fin du mois de septembre.

Mais je vous garantis sur l’honneur que toutes les questions que je pose ci-dessus se basent uniquement sur des lectures de documents officiels et accessibles à tous ! Ce ne sont pas des allégations, des suppositions, des supputations de théoriciens du grand complot ! C’est cela qui fait qu’il est impératif de se poser de telles questions ! Et de tirer les conclusions qui s’imposent.

Pour ma part, c’est fait. Et j’ai pris position clairement.
Autrement dit, tant qu’on ne m’obligera pas à fermer ma gueule, je continuerai à vous informer.

Il y a, par contre, une question que je vais poser ici et à laquelle je vais répondre, car beaucoup de mes interlocuteurs ne comprennent pas cela (j’ai reçu des centaines de courriels en une semaine !!! Merci à ceux qui m’ont traité de pauvre connard et de manipulateur. Merci surtout à tous ceux qui ont relayé l’information à des dizaines de milliers de personnes en Europe et au Canada. Merci particulièrement à tous ceux qui prient pour moi, pour l’instant. J’ai été très touché et ému.)

La question est : comment un virus aussi bénin va-t-il s’y prendre pour tuer des millions de personnes ? Ça, c’est la question à un million de dollars !!!

Eh bien c’est l’histoire des pandémies du passé qui nous apporte la réponse. La recette est simple (en douze étapes, déjà expérimentées en 1918 avec succès) :

on annonce qu’un foyer d’une nouvelle grippe vient d’apparaître au Mexique et que c’est très grave, car c’est un virus animal qui s’est transmis à l’homme !
on annonce ensuite 350 morts en une semaine, pour rectifier ensuite le décompte à 8 morts. Mais tout le monde a retenu qu’il y avait eu beaucoup de morts dès le début (ça ne vous rappelle rien, ça : le 11 septembre, on nous a annoncé à la télévision 40 à 50.000 morts dans les Twin Towers – ce qui a justifié la croisade contre les forces du Mal – puis, on a révisé le nombre de morts à 2.974) ;
on annonce à grand renfort de publicité quotidienne que ce terrible virus se propage à une vitesse incroyable sur toute la planète (alors que par ailleurs, aucun laboratoire du monde ne dispose de la souche du virus pour confirmer que c’est bien ce virus qui est en cause, et pas le virus ordinaire – on reconnaît par ailleurs que la grippe porcine ne présente aucun symptôme spécifique par rapport à ceux de la grippe ordinaire – alors, comment font-ils pour compter le nombre de cas ???) ;
devant le peu de virulence dudit virus, on nous annonce que ce gentil virus (finalement) va muter et va devenir TRÈS méchant, et que l’on sait qu’il va muter à une date précise (celle de la sortie des vaccins, quelle coïncidence quand même !) ;
pendant tout ce temps, on prépare des produits en laboratoire dont on dit qu’ils sont des vaccins, et dans lesquels on mélange deux souches de la grippe porcine, deux souches de la grippe aviaire et une souche de la grippe humaine (cocktail tout à fait explosif, lorsqu’il sera injecté dans le corps !). De plus, on rajoute (en plus grande quantité que d’habitude) des adjuvants (mercure, aluminium et squalène), reconnus pour leur grande toxicité ;
peu avant la sortie des soi-disant vaccins (qui sont en réalité, ici, des armes bactériologiques) , les médias se déchaînent pour nous annoncer qu’il y a une recrudescence de cas de grippe. Même si les médecins ne prennent plus la peine de vérifier s’il s’agit bien du même virus, le peuple est tellement hypnotisé qu’il ne réfléchit plus. Il est persuadé que la mutation annoncée est en train de se réaliser ;
on annonce aussi que tous les vaccins ne seront pas disponibles immédiatement et qu’il y aura des chanceux qui pourront en bénéficier tout de suite, et d’autres devront attendre jusqu’à quatre mois pour enfin recevoir le vaccin salvateur ! À noter que nous en sommes là, pour l’instant, dans la chronologie des événements.
dès la sortie des premières armes bactériologiques déguisées en vaccins, le bon peuple apeuré court se faire vacciner volontairement, dans les centres spécialement préparés à cet effet (et encadrés par des militaires). Ici au Canada, les gens s’inscrivent sur des listes d’attente pour être certains d’être parmi les premiers vaccinés !
dès l’injection du vaccin, le cocktail préparé soigneusement par les laboratoires entraîne la mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du patient, rendant les virus extrêmement mortels. Dans le même temps, les adjuvants auront mis par terre le système immunitaire. La Tamiflu sera utilisé pour provoquer une surinfection (cas déjà observés dans plusieurs pays) entraînant immédiatement la mort de la personne. Conséquence : il y aura des milliers de morts parmi les premières populations vaccinées ;
on nous dira alors que, malheureusement, ce qu’on craignait est arrivé : le virus a muté sous une forme mortelle. On attribuera la cause des décès au virus, et pas au gentil vaccin censé nous protéger ! Une panique s’emparera de la population, qui réclamera qu’on les vaccine d’urgence ;
vu la gravité de la situation sanitaire, vu les troubles engendrés, d’une part par ceux qui réclameront avec force leur vaccin, d’autre part par ceux qui accuseront les autorités sanitaires de génocidaires, l’état d’urgence sera déclaré dans tout le pays et le plan de vaccination obligatoire sera mis en place ;
ceux qui refuseront de se faire vacciner devront se cacher ou disparaître pendant un temps suffisamment long, à moins qu’on ne les fasse disparaître dans des camps de concentration prévus à cet effet.

Ce scénario, je vous l’écris en cette nuit du 9 au 10 septembre 2009. Je ne le fais pas du tout de gaieté de coeur.
Je sais que certains parmi vous me reprocheront d’alimenter la peur qui est déjà créée par les élites lumineuses, et de finalement, faire le jeu de ceux que je dénonce. À cela, je vous citerai une phrase de Jésus-Christ (même si je n’appartiens plus à aucune religion) : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres ! » (Jean 8:32).

Je vous offre ici une synthèse de tout ce que j’ai lu depuis cinq mois (dont deux mois à temps plein). Mon objectif, c’est de décrypter pour vous les informations qui nous sont cachées (même si elles sont disponibles publiquement – faites vos recherches avec Google – vous verrez !), afin que vous ne cédiez pas à la panique lorsque l’hécatombe commencera. Afin que vous compreniez quelle est la cause réelle de ce que vous verrez.

Maintenant, que pouvons-nous faire, me direz-vous ? Pour l’instant, la chose qui me paraît la plus importante, c’est que vous diffusiez cette information à TOUS vos contacts. Imprimez ce courriel, découpez-le en morceaux s’il vous paraît trop long, donnez-le à tous vos amis, à toutes vos connaissances. Si vous êtes parents d’enfants allant à l’école, constituez immédiatement des comités de résistance à ce plan génocidaire. Dans deux mois, il sera trop tard. Et vous devez savoir que les écoles seront bouclées pour pouvoir vacciner vos enfants. Si vous n’êtes pas organisés maintenant, vous serez démunis le 15 novembre, lorsque le plan se mettra en marche. Allez parler à tous les policiers, à tous les gendarmes que vous connaissez car eux aussi, sont maintenus dans l’ignorance de ce plan (et ils ne seront pas vaccinés par les mêmes produits, pour ne pas tomber malades, eux !). Expliquez-leur qu’ils vont participer, sans le savoir, à un génocide programmé contre la population. Rappelez-vous que si les nazis ont pu déporter autant de personnes vers les camps de la mort, c’est parce qu’ils ont bénéficié de l’aide de la police française qui n’avait pas compris ce qui se passait. Allez parler aussi à vos représentants politiques, car la plupart d’entre eux ne savent pas ce qui se trame. Demandez-leur de ne pas coopérer, de saboter le plan, de faire détruire les fichiers de population, pour que le recensement des vaccinés et des non vaccinés devienne un casse-tête.

Cette activité devrait devenir votre tâche prioritaire. Car la seule manière d’enrayer ce plan diabolique, c’est de réunir une masse critique de gens conscients. Gandhi ne disait-il pas : « un individu conscient et debout est bien plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et inconscients. » J’en suis convaincu.

Par contre, ne perdez pas votre temps avec les hauts dirigeants de l’État, les grands médias et les experts payés (achetés) par les laboratoires pharmaceutiques. Ne perdez pas non plus votre temps avec les sceptiques, les indécrottables du petit écran pour qui seule la parole des médias est l’évangile. Méfiez-vous même de leur réaction, car ils pourraient vous accuser de chercher à les tuer en les empêchant de se faire vacciner.

Et si vous avez peur en lisant mon courriel, transformez cette peur en action, en mouvement. C’est toujours comme cela que l’humanité a fait des bonds dans son évolution : c’est en transformant sa peur du feu en maîtrise du feu que l’homme a inventé la technique. Ici, l’enjeu est de taille : c’est en transformant votre peur de la mort que vous pourrez accéder à une nouvelle dimension, à une nouvelle vibration. Rappelez-vous que nous ne sommes pas des êtres matériels vivant des expériences spirituelles. Nous sommes des êtres spirituels vivant l’expérience fabuleuse de l’incarnation.

Personnellement, je suis très conscient de ce que je risque en prenant cette position, à découvert. Depuis quelque temps, je vis avec la perspective qu’il se pourrait que je ne sois plus de ce monde dans les semaines qui viennent. Et je découvre une perspective fabuleuse à mon existence. Souvent, je me suis posé la question de façon théorique : s’il me restait un an à vivre, quels choix de vie ferai-je pour que je puisse entrer dans la mort sereinement et sans regret ? Aujourd’hui, cette question n’est plus théorique pour moi. Et je me rends compte que beaucoup de mes valeurs se transforment de façon encore plus radicale. Et beaucoup de choses qui me causaient du souci deviennent tellement secondaires. ..

Et cette phrase de saint Matthieu résonne dans ma tête : que votre oui soit un oui, que votre non soit un non, (Matthieu 5:37).
Serons-nous capable de dire non à l’infamie, au risque de notre vie corporelle ? Serons-nous capables de dire oui à ce que notre âme nous dicte de faire ? Serons-nous capable de nous mettre debout, quel que soit le prix à payer ?

Tel est le cadeau que ce plan de pandémie nous offre en cette fin d’année 2009. Si nous sommes à la hauteur du défi (et je sais que nous le sommes), ce vaccin deviendra notre pierre philosophale et nous transformera en alchimistes, pour réaliser le grand oeuvre.

lundi 16 novembre 2009

Les scientifiques Maroc Polisario demande de se repentir

A l'image des anciens des séparatistes du Polisario

Appelé le Conseil scientifique de l'emploi importante, après la clôture de sa neuvième session ordinaire le premier samedi soir à Casablanca, «les représentants du Polisario" Basé sur les camps de Tindouf pour se repentir, qui commettent des crimes contre des détenus dans des camps.

Il a appelé le Conseil scientifique, un appel adressé aux «Sur la base des centres de détention (de Tindouf), au pouvoir sur le corps des gardiens des libertés capturé, que de se repentir d'avoir commis des crimes et des péchés contre leurs frères dans le but de former des groupes en prie Astattafha et organisations des droits humains, en particulier ceux qui répondent de façon sélective et suspecte la politique deux poids deux mesures ne se soucie pas d'où les questions de la Oumma islamique et l'unité de leur propre pays. "

Il s'est également rendu en haut de l'appel au Conseil scientifique de l'frères algériens, dirigés par des scientifiques et les forces vives de prendre en compte les exigences de la fraternité islamique et de bon voisinage légitime.

Cela est arrivé dans un appel lancé par le Conseil «à nos frères et nos frères en Algérie, menée par des scientifiques de ce pays et à toutes les forces vives de la noblesse pour leur rappeler les exigences de la fraternité islamique et de bon voisinage légitimes et avec le respect nécessaire des droits voisins".

Il a exhorté le Conseil à agir pour éviter de créer une atmosphère de tension et de conflits "à la garde de tomber dans l'avertissement du Prophète (PSL):« Dieu ne croit pas, ne croit pas en Dieu, et Dieu ne croit pas. A été dit, ô Messager de Dieu, dit dès le préjudice de son voisin n'est pas sûr. "

Il a demandé au Conseil scientifique de la plus haute dans l'appel «Ne Albwaiq un plus grand appui pour le mouvement indépendantiste, qui ne repose pas sur la justification juridique ou historique, soutenu, ni à des sources locales de la géographie humaine."

Sarkozy propose une conférence internationale de paix à Paris Kouchner au Proche-Orient pour soutenir Abbas et “pousser Israël à la paix”

De quelle paix parle -t-on alors qu’Israël continue la colonisation en Cisjordanie ?
De quelle paix parle -t-on alors qu’Israël continue la colonisation en Cisjordanie ?

Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, se rend mardi et mercredi en Cisjordanie et Israël pour encourager Mahmoud Abbas à rester président de l'Autorité palestinienne et les dirigeants israéliens à retrouver le chemin de la paix.
Cette visite - sans déplacement à Gaza - intervient sur fond de pessimisme quant à une relance du processus de paix. Elle se situe dans un contexte d'accélération de contacts de la France avec les acteurs de la région. Ces derniers jours, lePt français a tour à tour reçu le Premier ministre israélien Netanyahu et le Pt syrien Bachar al-Assad. Il a multiplié les appels téléphoniques à Mahmoud Abbas, qui ne souhaite pas se représenter à la tête de l'Autorité palestinienne, menaçant même, faute de progrès, de démissionner."Il faut reparler avec Abbas, et que d'abord le Pt palestinien ne démissionne pas", a souligné Kouchner. Le ministre rencontrera aussi son homologue Riyad Malki et le Premier ministre Salam Fayyad. Le désarroi de Mahmoud Abbas, chef du Fatah -déja en difficulté sur le plan intérieur, même dans son prope camp -, est apparu lorsque les USA ont semblé reculer sur leur exigence d'un gel des colonisations israéliennes.Le crédit de Barack Obama en est écorné et la France devrait aussi inciter Mahmoud Abbas à conserver des liens étroits avec Washington, selon un diplomate. La France n'a toutefois pas de solution miracle. Plusieurs avancées “positives” ont été enregistrées dans la région, font valoir les diplomates français: un gouvernement libanais a été mis sur pied, et Paris et Damas ont repris langue après des années de froid, tout comme l'Arabie Saoudite avec la Syrie. Pour leur part, les relations franco-israéliennes ne sont plus au beau fixe et connaissent des hauts et des bas. Se félicitant de la position dure adoptée par Paris à l'égard du programme nucléaire iranien, Israël a autorisé la France à reconstruire une partie de l'hôpital d'al-Qods de Gaza, bombardé pendant l'agression israélienne (décembre 2008-janvier 2009). Mais Israël, à en croire la presse israélienne, aurait mis son veto à une visite du ministre français à l'hôpital à Gaza et ne serait pas étranger au report de son séjour initialement prévu fin octobre, après une lettre franco-britannique demandant une enquête "indépendante" sur la guerre de Gaza, très mal perçue par Netanyahu. Kouchner verra aussi le président Shimon Peres, son homologue Avigdor Lieberman, le ministre de la Défense Ehud Barak et la chef de l'opposition Tzipi Livni.Paris, qui continue de réclamer le gel de la colonisation israélienne, a un "vrai différend politique" à ce sujet avec le gouvernement israélien, reconnaît le ministre français. Sa remarque sur la disparition d'une "aspiration à la paix" du peuple israélien avait suscité l'agacement des Israéliens.
Sarkozy propose une conférence internationale de paix à Paris
Le Pt français a proposé la semaine dernière au Premier ministre israélien de participer à une conférence internationale de paix organisée à Paris et réunissant les principaux acteurs au P-O, a indiqué dimanche Haaretz. Selon le quotidien, durant leur entretien mercredi dernier à l'Elysée, Sarkozy a invité Netanyahu à relancer le processus de paix au P-O en rencontrant les présidents syrien et palestinien, Bachar al-Assad et Mahmoud Abbas, dans le cadre d'une conférence internationale organisée à Paris sous son égide. Cette conférence, précise le Haaretz, réunirait aussi le roi de Jordanie, Abdallah II, le Pt égyptien , le Pt libanais , ainsi que des représentants du Quartette (USA, UE, Russie, ONU). Toujours selon le quotidien, Sarkozy a appelé jeudi au téléphone M. Abbas pour lui faire part de cette proposition, et en a également parlé avec Assad durant la visite de ce dernier vendredi à Paris. Ni Netanyahu ni Abbas n'ont rejeté la proposition française, selon le Haaretz.La Russie souhaite également depuis plusieurs mois organiser une conférence de paix sur le POà Moscou. Interrogé par l'AFP, un responsable gouvernemental israélien a déclaré, sous couvert de l'anonymat, qu'"Israël se félicite par avance de toute possibilité de rencontre entre le Benjamin Netanyahu et les présidents syrien et palestinien". Sarkozy et Moubarak sont les co-présidents de l'Union pour la Méditerranée (UPM) qui vise à convertir l'espace méditerranéen en zone de paix par le biais de projets, en particulier sur l'environnement ou le transport.Haaretz indique par ailleurs que durant sa visite à Paris, Netanyahu a exprimé son mécontentement à Sarkozy à propos des déclarations du chef de la diplomatie française Bernard Kouchner dans lesquelles il avait déploré qu'il n'y ait plus d'"aspiration à la paix" en Israël. Kouchner n'a pas assisté à l'entretien mercredi entre Sarkozy et Netanyahu.

Le retour triomphal de Mohammed V annonçait la fin de l’ère du protectorat 16 novembre 1955


Le 16 novembre 1955 a constitué un tournant dans l’Histoire du Maroc qui est sorti ce jour de l’ère du protectorat pour accéder à la liberté et à l’indépendance.
Avec le retour du Roi Mohammed V de l’exil, c’est un Maroc nouveau qui est né, un Maroc libre et souverain qui avait besoin de se doter des moyens de développement et de défense de ses acquis.
Le retour triomphal de Mohammed V et de la Famille Royale, après plus de deux années de déportation et de souffrances, a couronné la bataille menée conjointement par le Roi et le peuple marocain qui a refusé, dès le départ, le traité du protectorat signé le 30 mars 1912 et qui s’attachait à sa souveraineté et à son intégrité territoriale.
Grâce à la parfaite symbiose entre le Roi et le peuple, les autorités coloniales ont fini par reconnaître le droit du Maroc à l’indépendance et ont été contraintes d’accéder aux exigences du peuple exprimées par l’Istiqlal en décidant que Mohammed V retourne sur Son Trône. C’était d’ailleurs là la condition sine qua non pour engager des négociations avec la France et pour discuter de l’avenir des relations franco-marocaines.
Mohammed V, qui a sacrifié Son Trône pour servir la cause de Son pays, a donné l’exemple le plus éloquent de la fidélité à Son peuple, cette fidélité qui était d’ailleurs réciproque puisque le peuple a pris les armes et a mené la résistance dans toutes les régions du pays, sous l’égide du Parti de l’Istiqlal, qui avait présenté, en commun accord avec Mohammed V et dans une coordination parfaite, le Manifeste de l’Indépendance le 11 janvier 1944.
Aujourd’hui, 54 années se sont écoulées depuis ce retour historique.
Le peuple marocain se souviendra éternellement de cette date qui restera gravée en lettres d’or dans l’Histoire du Maroc moderne et continuera d’y puiser maints enseignements pour poursuivre la bataille du développement et de l’émancipation, sous la conduite éclairée de S.M. Mohammed VI.
16/11/2009

M. Abbas El Fassi, premier ministre, est arrivé, samedi soir, à Rome pour représenter SM le Roi


M. Abbas El Fassi, premier ministre, est arrivé, samedi soir, à Rome pour représenter SM le Roi, au Sommet Mondial sur la sécurité alimentaire qui se tiendra, du 16 au 18 novembre, dans la capitale italienne.
Ce Sommet s’assigne pour objectif de donner une nouvelle impulsion à la lutte contre la faim et la malnutrition qui affectent 1,2 milliard d’êtres humains dans le monde.
Le Sommet, qui se tiendra au siège de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’agriculture (FAO), vise également à mobiliser la volonté politique requise pour accroître les investissements dans l’agriculture et relancer l’effort international de lutte contre la faim.
La FAO chiffre les besoins d’investissements des pays en développement dans le cadre de l’Aide publique au développement à environ 44 milliards de dollars par an, auxquels devront s’ajouter des financements des budgets nationaux et des investissements privés dans l’agriculture primaire.

Tournons la page et réformons notre football ! Après l’élimination de la Coupe du Monde et de la Coupe d’Afrique


La déception du peuple marocain après la défaite de son équipe nationale devant l’équipe camerounaise est très grande.
C’est tout à fait compréhensible car notre équipe nationale ne participera ni à la Coupe du Monde en Afrique du Sud ni à la Coupe d’Afrique.
Cette élimination était prévisible compte tenu des résultats obtenus au départ avec la défaite devant le Gabon alors que l’équipe nationale jouait devant son public.
Maintenant, il faut tirer des leçons et surtout oublier le passé pour construire l’avenir et passer à l’action pour réformer notre système footballistique dans son ensemble.
Il faut déterminer les responsabilités avec courage et objectivité, sans complaisance et sans observer ce silence coupable qui décourage toutes les bonnes volontés et contribue à leur démobilisation et à leur désaffection à l’égard de la chose sportive.
Plusieurs facteurs ont contribué à cette situation regrettable dans laquelle se trouve le football marocain :
- la mentalité des joueurs, l’absence de motivation et leur indiscipline ;
- la désignation de quatre entraîneurs à la fois après le départ de Roger Lemerre ;
- l’obstination de certains responsables qui refusent de voir les réalités en face et font de leur mieux pour contrecarrer tout ce qui peut contribuer à la mise à niveau du football marocain ;
- le niveau de la compétition à tous les niveaux de notre football et la situation des clubs nationaux ;
- l’absence de centres de formation et de motivation des meilleurs joueurs qui préfèrent jouer dans des clubs européens ou ceux du Golfe au lieu de rester au Maroc.
Tous ces facteurs et d’autres évidemment ont contribué, d’une façon ou d’une autre, à la dégradation de la situation au sein d’une équipe nationale qui manque d’homogénéité et surtout d’un commandant de bord capable de lui insuffler cette âme qui pousse les joueurs à mouiller le maillot et à jouer dans un esprit collectif pour l’honneur de tout un peuple.
Certes, on peut connaître des défaites – c’est la loi du football - mais on doit d’abord faire preuve de combativité, de discipline et de bonne conduite.
Des erreurs monumentales ont été commises car comment peut-on désigner quatre entraîneurs à la fois pour gérer une situation de crise et dont aucun d’eux n’a voulu dès le départ assumer la responsabilité des résultats futurs ?
On peut avancer qu’une équipe faite uniquement de joueurs professionnels ne peut récolter que de tels résultats, mais c’est tout à fait faux. La preuve c’est cette équipe camerounaise qui, après un mauvais départ, a su rattraper le temps perdu sous la houlette d’un entraîneur compétent qui a exigé tout d’abord la discipline et qu’il a eu carte blanche.
Le résultat, on le voit : le Cameroun jouera le Mondial en Afrique du Sud.
Que chacun donc assume ses responsabilités et que ceux qui ont fait preuve d’incompétence soient éloignés des sphères de décision.
Il faut adopter une stratégie globale qui comporte des plans de réforme à court, à moyen et à long terme.
Comme on l’a fait pour le tourisme, pour l’agriculture et l’énergie, il faut un plan de redressement du football national et du sport en général accentué sur la formation à la base et désigner un entraîneur qui a fait ses preuves et compétent à la tête de l’équipe nationale, avec un cahier de charges qu’il doit respecter et non seulement un contrat qu’on peut résilier à tout moment.
Le sport, en général, et le football, en particulier, constitue une cause nationale.
Alors, œuvrons donc avec tout le sérieux nécessaire et l’esprit de responsabilité pour ne pas trahir et décevoir notre peuple.